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AMR vs AGV : Quel robot mobile pour booster votre entrepôt ?

Logistique

Solutions 4.0

Supply Chain

19 septembre 2025

La pression sur les entrepôts n’a jamais été aussi forte. Explosion du e-commerce, demande de livraisons toujours plus rapides, pénurie de main-d’œuvre… Chaque jour est un nouveau défi.

Dans cette course à la performance, l’automatisation n’est aujourd’hui plus une option, mais une nécessité. Et au cœur de cette révolution se trouvent les robots mobiles.

Le marché regorge de modèles et de technologies, mais toutes ne se valent pas. Une question se pose alors : faut-il opter pour des robots AGV (Automated Guided Vehicles), les pionniers de l’automatisation, ou pour les robots AMR (Autonomous Mobile Robots), leurs successeurs intelligents et agiles ?

Cette décision peut transformer radicalement vos flux logistiques. Elle impactera votre productivité, votre flexibilité et, in fine, votre rentabilité.

Alors, comment faire le bon choix ? Cet article va vous guider pas à pas pour que vous puissiez sélectionner la technologie qui propulsera véritablement votre entrepôt.

Plongée au cœur de la robotique mobile : Deux philosophies, deux technologies

Avant de les opposer, il est essentiel de comprendre ce qui définit fondamentalement un AGV et un AMR. Bien qu’ils servent tous deux à automatiser le transport de marchandises, leur approche de la navigation et de l’interaction avec leur environnement est radicalement différente.

 

Les AGV (Automated Guided Vehicles) : La fiabilité structurée

Les AGV sont les aînés de l’intralogistique. Apparus dans les années 50, ils sont conçus pour une tâche simple et essentielle : suivre un chemin prédéfini avec une fiabilité à toute épreuve.

Imaginez un train sur ses rails. Il ne peut dévier de sa voie. L’AGV fonctionne sur le même principe. Sa navigation est filoguidée, ce qui signifie qu’il suit des lignes physiques (bandes magnétiques, câbles encastrés dans le sol) ou des chemins virtuels définis par des réflecteurs laser.

Leur mission principale : le transport de charges lourdes sur des distances fixes et répétitives. Ils sont infatigables tant que leur parcours est dégagé.

Leur intelligence est limitée : si un obstacle se présente sur leur chemin, ils s’arrêtent et attendent qu’il soit retiré. Ils ne peuvent pas prendre d’initiative. Cette simplicité est à la fois leur force – une fiabilité et une sécurité éprouvées – et leur plus grande faiblesse.

 

Les AMR (Autonomous Mobile Robots) : L’intelligence et la flexibilité

Les AMR représentent un saut technologique majeur. Ils sont le fruit des progrès en matière d’intelligence artificielle, de vision par ordinateur et de capteurs avancés.

Si l’AGV est un train, l’AMR est une voiture autonome. Il n’a pas besoin de rails. Il cartographie son environnement à l’aide de technologies comme le SLAM (Simultaneous Localization and Mapping) – la même que celle utilisée par les aspirateurs robots – et navigue de manière dynamique.

Grâce à ses capteurs (LiDAR, caméras 3D, scanners de sécurité), l’AMR « voit » et « comprend » son environnement en temps réel. Il peut identifier les obstacles, qu’ils soient fixes (un rayonnage) ou mobiles (un opérateur, un chariot préparateur de commandes), et les contourner en recalculant instantanément le meilleur itinéraire.

Cette capacité d’adaptation en fait l’outil idéal pour les environnements complexes et changeants, typiques des entrepôts e-commerce où la préparation de commandes est intense et les flux imprévisibles. Ils sont conçus pour collaborer avec les humains en toute sécurité.

Le match des technologies : AGV vs. AMR, le comparatif détaillé pour faire le bon choix

Le choix entre ces deux technologies doit être guidé par une analyse précise de vos besoins, de votre environnement et de vos objectifs à long terme. Analysons leurs points de rupture.

 

Navigation et flexibilité : L’agilité face à la rigidité

C’est le critère le plus discriminant.

Les robots AGV offrent une flexibilité quasi nulle. Leur parcours est gravé dans le marbre (ou plutôt, dans le sol de l’entrepôt). Modifier un trajet implique des travaux, un arrêt de l’activité et des coûts significatifs. Un simple carton qui tombe sur leur voie suffit à paralyser une partie du flux. Cette rigidité est incompatible avec les opérations qui nécessitent une adaptation constante.

Les robots AMR, eux, sont la flexibilité incarnée. Leur déploiement initial implique une phase de « mapping » où le robot parcourt l’entrepôt pour en créer une carte numérique. Une fois cette carte enregistrée, le système de gestion de flotte peut leur assigner des missions dynamiquement. Si l’agencement de l’entrepôt change, une simple mise à jour de la carte suffit. Face à un obstacle, ils ne s’arrêtent pas ; ils contournent. Cette agilité permet une bien meilleure gestion des flux logistiques en temps réel et assure la continuité des opérations.

 

Installation et déploiement : Des semaines de travaux contre quelques heures de configuration

Le déploiement d’une flotte d’AGV est un projet d’infrastructure. Il faut installer les bandes magnétiques, les câbles ou les réflecteurs laser. Cela peut prendre plusieurs semaines, voire des mois, et nécessite souvent d’interrompre l’activité de la zone concernée.

Le déploiement des AMR est radicalement plus simple et rapide. La technologie SLAM permet aux robots de cartographier l’entrepôt en quelques heures, souvent sans perturber les opérations en cours. L’installation est donc principalement logicielle. Cette rapidité de mise en œuvre est un avantage considérable pour les entreprises qui ne peuvent pas se permettre de longs arrêts d’activité.

 

Coûts et modèle économique : Investissement initial vs. Coût total de possession (TCO)

À première vue, un robot AGV est souvent moins cher à l’achat qu’un robot AMR doté de technologies plus complexes. Cependant, cette vision est trompeuse.

Le coût réel d’un projet AGV inclut l’achat des véhicules ET le coût très élevé de l’installation et de la modification de l’infrastructure de l’entrepôt. Chaque modification ultérieure du parcours engendrera des coûts supplémentaires.

Les AMR, bien que plus chers à l’unité, ne nécessitent quasiment aucun coût d’infrastructure. L’investissement se concentre sur la technologie embarquée. Leur flexibilité permet également d’éviter les coûts liés aux reconfigurations futures. Sur le long terme, dans un environnement dynamique, le coût total de possession (TCO) d’une flotte d’AMR est souvent plus avantageux.

 

Sécurité et collaboration Homme-Machine

Les deux technologies sont sécurisées. Les AGV disposent de scanners de sécurité de base qui leur ordonnent de s’arrêter en cas de détection d’obstacle. Ils sont sûrs, mais peu collaboratifs.

Les AMR, en revanche, sont conçus pour l’interaction. Leurs capteurs à 360° et leur intelligence embarquée leur permettent non seulement de détecter un humain, mais aussi d’anticiper sa trajectoire et de l’éviter de manière fluide, en ralentissant ou en le contournant, sans forcément s’arrêter complètement. Cela crée un environnement de travail plus harmonieux et productif où l’homme et la machine collaborent.

 

Cas d’usage : À chaque robot sa mission

Le choix dépendra finalement des tâches que vous souhaitez automatiser.

Les cas d’usage idéaux pour les AGV :

  • Transport de palettes : Transfert de charges lourdes et standardisées entre des points fixes (ex: de la fin de la ligne de production à la zone de stockage).
  • Processus répétitifs : Tâches qui ne changent jamais, dans un environnement stable et prévisible.
  • Environnements à faible interaction humaine.

Les cas d’usage idéaux pour les AMR :

  • Préparation de commandes (« Picking« ) : C’est leur domaine de prédilection. Les systèmes Goods-to-Man où les AMR apportent les étagères directement aux opérateurs sont devenus une norme d’efficacité. Ils réduisent drastiquement les déplacements des préparateurs.
  • Réapprovisionnement du picking : Transport des palettes de la réserve vers les allées de picking.
  • Tri et expédition : Déplacement des colis triés vers les quais d’expédition correspondants.

Environnements dynamiques : Entrepôts e-commerce, 3PL, où les références de produits (SKU) et l’agencement changent souvent.

L'intégration avec votre WMS : Le cerveau de votre opération d'automatisation

Acheter une flotte de robots mobiles sans l’intégrer parfaitement à votre système d’information, c’est comme acheter une voiture de course sans roues. La performance brute est là, mais vous ne pouvez pas la diriger. Dans votre cas, le pilote de votre entrepôt, c’est votre Warehouse Management System (WMS).

 

Pourquoi le logiciel WMS est-il le pilier de l’automatisation ?

Votre logiciel de gestion d’entrepôt, ou WMS, est bien plus qu’un simple logiciel de gestion de stocks. C’est le cerveau qui pilote l’ensemble de vos opérations. Il supervise la gestion des inventaires, la gestion du stockage, et surtout, il orchestre la préparation de commandes.

Eh oui, c’est bien la plateforme WMS qui reçoit les commandes des clients, qui localise les produits dans l’entrepôt et qui décide de l’ordre de prélèvement le plus efficace. Pour qu’une flotte de robots soit performante, elle doit recevoir ses ordres directement du WMS.

Sans intégration, vous seriez contraint de gérer manuellement les missions des robots, anéantissant ainsi tous les gains de productivité. Une bonne intégration permet au WMS de communiquer les ordres de mission (« va chercher le produit X à l’emplacement Y et amène-le à la station de packing Z ») directement au système de gestion de la flotte de robots.

Cette synergie, elle est synonyme d’une traçabilité parfaite et d’une gestion des flux logistiques optimisée.

 

Checklist pour une intégration WMS-Robots réussie

L’intégration est une étape à ne surtout pas négliger. Voici une feuille de route pour ne rien oublier.

  • Étape 1 : Auditez votre WMS actuel.
    • Dispose-t-il d’APIs (Interfaces de Programmation d’Application) ouvertes et documentées qui permettent une communication facile avec des systèmes tiers ? Un WMS vieillissant ou « fermé » peut rendre l’intégration complexe et coûteuse, voire impossible.
  • Étape 2 : Définissez précisément les flux de données. Quelles informations doivent circuler entre les systèmes ? Typiquement :
    • Ordres de picking, de réapprovisionnement, de rangement.
    • Confirmation de prise, de dépose,
    • Etat du robot, alertes.
  • Étape 3 : Impliquez les équipes opérationnelles. Vos préparateurs de commandes et managers d’entrepôt sont les mieux placés pour décrire les flux de travail actuels. L’automatisation doit améliorer leurs processus, pas les remplacer.
  • Étape 4 : Choisissez un fournisseur de robots avec une solide expertise en intégration. Le fabricant des AMR/AGV doit pouvoir démontrer son expérience avec votre type de WMS ou, au minimum, avec des systèmes similaires. Demandez des études de cas.
  • Étape 5 : Planifiez des phases de test rigoureuses. Ne basculez pas tout votre entrepôt en une seule fois. Commencez par une zone pilote. Testez tous les scénarios possibles : pic d’activité (lien : gestion pics activités), gestion des erreurs, pannes, etc.
  • Étape 6 : Formez vos équipes. Les opérateurs devront apprendre à interagir avec les robots et à utiliser les nouvelles interfaces logicielles. Un accompagnement au changement est obligatoire pour l’adhésion et le succès du projet.

Calculer le Retour sur Investissement (ROI) de votre flotte de robots

Investir dans la robotique mobile est une décision stratégique qui doit être justifiée par le calcul du ROI.

 

Les coûts à prendre en compte

Pour une bonne analyse, il est nécessaire d’inclure tous les coûts directs et indirects :

  • Coût d’acquisition : Le prix des robots mobiles eux-mêmes.
  • Coût d’infrastructure (surtout pour les AGV) : Marquage au sol, réflecteurs, etc.
  • Coût logiciel : Licences pour le système de gestion de flotte, et potentiellement les coûts de mise à niveau ou de développement de votre logiciel WMS.
  • Coût d’intégration : Le budget pour les services professionnels qui connecteront le WMS et les robots.
  • Coût de maintenance et de support : Contrats annuels pour assurer le bon fonctionnement du matériel et du logiciel.
  • Coût de formation : Le temps nécessaire pour former vos équipes à ces nouveaux outils de gestion de stock automatisés.

 

Les gains à quantifier

C’est ici que l’investissement prend tout son sens :

  • Gains de productivité : C’est le gain le plus direct. Un système Goods-to-Man basé sur des AMR peut multiplier par 2, 3 voire 5 le nombre de lignes de commandes préparées par un opérateur par heure, simplement en éliminant les temps de déplacement.
  • Réduction des erreurs de picking : L’automatisation réduit drastiquement les erreurs humaines, ce qui diminue le coût des retours et améliore la satisfaction client.
  • Amélioration de la sécurité : Moins de déplacements d’engins manuels comme le chariot préparateur de commandes signifie moins de risques d’accidents.
  • Optimisation de la surface de stockage : Certains systèmes robotisés permettent une plus grande densité de stockage, retardant le besoin d’agrandir l’entrepôt.
  • Flexibilité et scalabilité : Il est facile d’ajouter des robots à la flotte pour gérer les pics d’activité (Black Friday, soldes) et de les retirer en période creuse (modèle RaaS – Robot as a Service).

 

Quand investir ? Les signaux qui ne trompent pas

Vous vous demandez si c’est le bon moment ? Voici quelques indicateurs :

  • Votre taux d’erreur de préparation de commandes est trop élevé et vous coûte cher.
  • Vous n’arrivez pas à suivre la cadence lors des pics saisonniers.
  • Les coûts liés aux accidents du travail sont une préoccupation.
  • Vos concurrents s’automatisent et gagnent en efficacité.
  • Vous souhaitez faire de votre logistique un avantage concurrentiel en construisant un véritable entrepôt du futur.

Construire votre entrepôt du futur : Au-delà de l'AGV et de l'AMR

La vision de l’entrepôt du futur n’est pas une opposition binaire entre AGV et AMR, ni un remplacement total de l’humain. C’est une synergie intelligente entre différentes technologies et les compétences humaines.

 

La synergie des technologies : Le meilleur des deux mondes

Dans de très grands entrepôts, il est tout à fait possible de faire coexister les deux technologies. Des AGV pourraient être utilisés pour le transport de masse sur de longues distances rectilignes (par exemple, pour le réapprovisionnement picking), tandis qu’une flotte d’AMR se chargerait des tâches plus complexes et à plus forte valeur ajoutée dans les zones de picking denses.

L’orchestration de cette cohabitation est assurée par le WMS qui assigne la bonne tâche au bon robot. C’est là que des stratégies comme la classification ABC (ou classement abc) prennent tout leur sens. Le WMS, connaissant les produits à plus forte rotation (classe A), peut organiser le stockage et les missions des robots pour minimiser les distances de parcours et maximiser l’efficacité.

 

Le futur est collaboratif (« Cobotique »)

L’objectif final n’est pas un entrepôt sans humains, mais un entrepôt où les opérateurs effectuent plus de tâches à forte valeur ajoutée grâce à la technologie. Les AMR sont à la pointe de cette tendance de la « cobotique » (robotique collaborative). Ils prennent en charge les tâches les plus pénibles, répétitives, comme les longs déplacements.

Cela permet aux opérateurs de se concentrer sur des tâches qui requièrent leur intelligence et leur dextérité : le contrôle qualité, l’emballage complexe, la gestion des exceptions. Le travail devient moins physique, plus sûr et plus valorisant.

AGV pour la structure, AMR pour l'agilité : Votre entrepôt, votre choix.

La décision entre robots AGV et robots AMR n’est pas un simple choix technologique. C’est une décision stratégique qui doit être alignée avec la nature de vos opérations, votre environnement et votre vision pour l’avenir.

Pour résumer :

  • Optez pour les AGV si vos flux sont stables, standardisés, répétitifs et que vous cherchez une solution éprouvée pour le transport point à point de charges lourdes dans un environnement peu changeant.
  • Tournez-vous vers les AMR si votre entrepôt est dynamique, si vous gérez un grand nombre de références, si la flexibilité est votre priorité et si vous visez une collaboration étroite et sûre entre les humains et les robots, notamment pour des tâches complexes.

Le succès de votre projet ne reposera pas uniquement sur le robot, mais sur l’intelligence de l’écosystème qui le pilote. L’intégration transparente avec une solution WMS performante est le véritable moteur de votre optimisation de la supply chain.

Prêt à faire passer votre logistique à la vitesse supérieure ? L’automatisation est à votre portée.

Contactez-nous pour un audit de votre entrepôt. Nous analyserons ensemble vos flux et déterminerons la solution de robotique mobile qui répondra parfaitement à vos défis et transformera votre performance.

FAQ: Tout ce qu’il faut savoir sur les robots mobiles

Un AGV peut-il être transformé en AMR ?

Non, ce sont deux technologies fondamentalement différentes. Un AGV est conçu pour suivre des lignes ou des chemins prédéfinis. Un AMR utilise des capteurs avancés et l’IA pour naviguer librement. Il n’est pas possible de « mettre à niveau » un AGV en AMR ; cela reviendrait à changer entièrement son système de navigation, ses capteurs et son logiciel de contrôle, soit l’équivalent de construire un nouveau robot.

 

Quelle est la durée de vie moyenne d’un robot mobile d’entrepôt ?

La durée de vie d’un AGV ou d’un AMR est généralement de plusieurs années, souvent entre 7 et 10 ans, voire plus. Cela dépend de l’intensité de son utilisation, de la qualité de sa fabrication et, surtout, de la rigueur de la maintenance préventive (vérification des batteries, des capteurs, des pièces d’usure).

 

L’installation d’AMR nécessite-t-elle un arrêt complet de l’entrepôt ?

Non, et c’est l’un de leurs grands avantages. Le déploiement se fait en deux étapes : la cartographie, où le robot parcourt les allées pour créer sa carte (ce qui peut souvent être fait en dehors des heures de pointe), et l’intégration logicielle. Les opérations courantes peuvent généralement se poursuivre avec une perturbation minimale pendant l’installation.

 

Les robots AMR sont-ils vraiment sûrs pour travailler aux côtés des humains ?

Oui, la sécurité est leur priorité. Les AMR sont équipés de multiples capteurs (scanners de sécurité certifiés, caméras 3D) qui leur donnent une vision à 360° de leur environnement. Ils peuvent détecter la présence d’une personne à plusieurs mètres, anticiper sa trajectoire et adapter leur vitesse et leur chemin pour l’éviter de manière fluide et prévisible.

 

Quel est l’impact de l’intelligence artificielle (IA) sur les performances des AMR ?

L’IA est au cœur de la supériorité des AMR. Elle intervient à plusieurs niveaux :

  • Navigation (SLAM) : L’IA permet au robot de se localiser précisément et de comprendre la géométrie de l’entrepôt.
  • Évitement d’obstacles : Des algorithmes d’IA analysent les données des capteurs en temps réel pour prendre les meilleures décisions de contournement.
  • Optimisation de flotte : Le système utilise l’IA pour répartir les tâches entre les robots de la manière la plus efficace possible, en minimisant les trajets à vide et en prévenant les congestions.