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Maîtriser le dernier kilomètre depuis l’entrepôt : Le duo gagnant WMS et TMS

Logiciel WMS

Logistique

Supply Chain

17 octobre 2025

Le dernier kilomètre… Ces quelques mots résonnent avec une intensité particulière dans l’esprit de tout professionnel de la supply chain. C’est le sprint final, la dernière étape du voyage d’un produit. Mais c’est aussi, et de loin, l’étape la plus coûteuse, la plus complexe et la plus décisive pour l’expérience client.

Saviez-vous que cette ultime portion du flux logistique peut dévorer jusqu’à 53% du coût total d’expédition ? Un chiffre colossal.

Pendant des années, l’attention s’est focalisée sur l’optimisation du transporteur, sur le véhicule de livraison, sur le trajet en ville. Et si nous regardions au mauvais endroit ? Et si la véritable clé pour révolutionner le dernier kilomètre ne se trouvait pas sur la route, mais bien en amont, au sein même des quatre murs de votre entrepôt ?

La vérité est la suivante : une livraison du dernier kilomètre ne sera jamais plus rapide, plus précise ou plus rentable que la préparation de commande qui la précède. C’est une chaîne de valeur, et chaque maillon compte.

Cet article plonge au cœur du réacteur logistique. Nous allons décortiquer comment une synergie parfaite entre votre logiciel de gestion d’entrepôt (Warehouse Management System ou WMS) et votre logiciel de gestion du transport (Transport Management System ou TMS) transforme ce défi opérationnel en un avantage concurrentiel décisif. Nous explorerons également le concept de micro-fulfillment pour rapprocher le stock du client et repousser les limites de l’efficacité.

Préparez-vous à repenser votre approche. Le dernier kilomètre commence ici.

Le dernier kilomètre : bien plus qu'une simple livraison

Avant de plonger dans les solutions, nous devons saisir la magnitude des enjeux. Le dernier kilomètre n’est plus une simple transaction de livraison ; c’est devenu un champ de bataille pour la fidélisation client.

 

Définition : la dernière étape de la supply chain

Le « dernier kilomètre » (ou last mile en anglais) désigne l’étape finale du processus de livraison, celle qui achemine un colis depuis son dernier point de stockage – qu’il s’agisse d’un entrepôt central, d’un hub de distribution ou d’un magasin – jusqu’à sa destination finale : le client.

C’est le moment de vérité, l’unique point de contact physique entre votre marque et votre client. Une expérience réussie consolide la confiance. Une expérience ratée, même si tout le reste du processus a été parfait, peut anéantir des mois d’efforts marketing.

 

Les défis majeurs qui pèsent sur votre rentabilité et votre réputation

Pourquoi cette étape est-elle si notoirement complexe et onéreuse ? Plusieurs facteurs se combinent pour créer une tempête de défis logistiques.

Le coût exorbitant : Le chiffre de 53% est souvent cité pour une bonne raison. Contrairement au transport long-courrier où des milliers de colis sont regroupés dans un seul camion, le dernier kilomètre implique une multitude d’arrêts uniques pour des livraisons individuelles. Chaque arrêt représente du temps, du carburant, et des coûts de main-d’œuvre qui s’additionnent de manière exponentielle.

La pression des attentes clients : Le standard imposé notamment par les géants du e-commerce a redéfini les attentes. Le client exige tout, et tout de suite :

  • Vitesse : La livraison le jour même ou le lendemain n’est plus un luxe, mais une attente de base.
  • Précision : Le créneau de livraison doit être respecté à la minute près.
  • Flexibilité : La possibilité de changer l’adresse ou l’heure de livraison à la dernière minute est de plus en plus demandée.
  • Transparence : Le client veut une traçabilité en temps réel de sa commande, du quai de livraison de l’entrepôt jusqu’à sa porte.

Les contraintes urbaines : Livrer en centre-ville est un casse-tête quotidien. Embouteillages, réglementations sur les émissions, restrictions de circulation, difficultés de stationnement… Chaque facteur ajoute des retards et des coûts imprévus à la gestion du transport.

L’impératif écologique : La conscience environnementale des consommateurs est en pleine croissance. Ils sont de plus en plus nombreux à privilégier les entreprises qui démontrent un engagement pour une logistique durable. Le dernier kilomètre, avec sa flotte de véhicules souvent polluants, est sous le feu des projecteurs. Réduire son empreinte carbone n’est plus seulement une question d’image, c’est un impératif commercial.

Face à ces défis, comment transformer ce talon d’Achille en une force ? La réponse se trouve dans une approche globale qui commence bien avant que le colis ne soit chargé dans le camion.

L'entrepôt : le point de départ de toute optimisation du dernier kilomètre

Penser optimiser le dernier kilomètre en se concentrant uniquement sur le transport, c’est comme essayer de gagner une course de Formule 1 avec une voiture mal préparée au stand. Peu importe le talent du pilote, la défaite est inévitable. Votre entrepôt, c’est votre stand. C’est là que la course se gagne ou se perd.

 

Pourquoi la performance de l’entrepôt n’est-elle pas négociable ?

Chaque minute gagnée, chaque erreur évitée lors de la réception de marchandise, de la gestion de stockage, et surtout de la préparation de commande, a un impact direct et mesurable sur le dernier kilomètre.

Imaginez ce scénario : un opérateur perd 5 minutes à chercher un produit à cause d’une mauvaise gestion des inventaires. Le colis part en retard. Le transporteur doit réorganiser sa tournée. La livraison est manquée. Le client est mécontent. Le colis doit être représenté. Les coûts explosent. C’est l’effet domino.

Pour briser ce cycle, deux outils technologiques sont au cœur de la stratégie :

  1. Le logiciel WMS (Warehouse Management System) : C’est le cerveau qui orchestre l’ensemble des opérations internes de l’entrepôt, de la gestion des stocks au picking.
  2. Le logiciel TMS (Transport Management System) : C’est le stratège qui planifie, exécute et optimise le mouvement physique des marchandises hors de l’entrepôt.

Le secret ne réside pas dans l’un ou l’autre, mais dans leur symbiose parfaite.

 

Le rôle central du logiciel WMS dans la préparation de commande

Un logiciel de gestion d’entrepôt est bien plus qu’un simple outil de gestion de stock. C’est un véritable chef d’orchestre qui optimise chaque micro-processus.

Un picking optimisé pour la vitesse et la précision : Le picking, ou la collecte des articles pour une commande, représente souvent plus de 50% des coûts opérationnels d’un entrepôt. Un logiciel WMS performant transforme cette tâche répétitive en une science exacte. Il calcule les chemins les plus courts pour les opérateurs, regroupe les commandes intelligemment, et guide les équipes via des terminaux mobiles pour minimiser les déplacements et les erreurs. L’intégration de principes poka yoke (des mécanismes anti-erreur) dans le processus WMS garantit que le bon produit est prélevé à chaque fois.

Un packing et une palettisation intelligents : Une fois les articles collectés, le WMS continue de piloter les opérations. Il peut suggérer la taille d’emballage optimale pour réduire les coûts de transport volumétrique (packing). Pour les commandes plus importantes, il organise la palettisation pour assurer la stabilité et optimiser l’espace dans le camion. Dans des opérations plus complexes comme le co-packing (regroupement de produits différents dans un même pack), le WMS garantit la conformité.

Une gestion des inventaires en temps réel : La pierre angulaire de toute la logistique d’entrepôt. Une solution WMS assure une visibilité parfaite sur les niveaux de stock à tout moment. Cette précision évite les ruptures qui frustrent les clients et les surstocks qui immobilisent votre capital. C’est la garantie que ce qui est commandé en ligne est bien disponible et prêt à être expédié.

Une gestion fluide des pics d’activité : Soldes, Black Friday, fêtes de fin d’année… Ces pics d’activité peuvent mettre n’importe quel entrepôt à genoux. Un WMS robuste permet d’absorber ces surcharges en fluidifiant les flux logistiques, en allouant les ressources dynamiquement et en maintenant un haut niveau de productivité sans sacrifier la précision.

 

Checklist : préparez votre entrepôt pour un dernier kilomètre sans faille

Pour transformer votre entrepôt en un véritable atout pour votre dernier kilomètre, voici des actions concrètes à mettre en œuvre.

  • Auditez vos processus actuels : Cartographiez chaque étape de votre préparation de commande. Identifiez les goulots d’étranglement, les tâches manuelles chronophages et les sources d’erreurs récurrentes.
  • Évaluez les fonctionnalités de votre WMS : Votre logiciel WMS actuel est-il à la hauteur ? Offre-t-il des stratégies de picking avancées (par vagues, par zones) ? Peut-il gérer des processus complexes comme le cross-docking ? Examinez les fonctionnalités WMS qui pourraient directement accélérer la préparation pour le dernier kilomètre.
  • Implémentez des mécanismes anti-erreur : Utilisez les principes du poka yoke. Cela peut passer par le scan systématique des codes-barres à chaque étape, des contrôles pondéraux automatisés, ou des systèmes de « pick-to-light » qui guident visuellement les opérateurs
  • Visez la perfection dans la gestion des inventaires : Mettez en place des cycles de comptage réguliers et utilisez votre logiciel de gestion de stock pour analyser les écarts et en corriger les causes profondes. La fiabilité de votre stock est non négociable.

La synchronisation parfaite : quand le TMS et le WMS travaillent de concert

Avoir un entrepôt performant, c’est la première mi-temps. Pour gagner le match du dernier kilomètre, il faut une coordination sans faille avec le transport. C’est ici que l’intégration entre le WMS et le TMS devient le facteur clé de succès.

Pensez à votre TMS et WMS comme à un duo pilote-copilote. Le WMS prépare l’avion (le colis) à la perfection, en s’assurant que tout est correct et prêt à temps. Le TMS, lui, trace le plan de vol le plus efficace pour atteindre la destination rapidement et en toute sécurité. L’un sans l’autre est inefficace.

 

De la commande validée au chargement du camion

Au sein d’un système optimisé, la communication entre les deux solutions est instantanée et bidirectionnelle.

  1. L’information descendante (TMS vers WMS) : Le logiciel TMS planifie une tournée de livraison. Il peut informer le WMS de l’heure exacte d’arrivée du camion et, surtout, de l’ordre dans lequel les colis devront être chargés pour respecter l’ordre de la tournée (principe du « dernier entré, premier sorti » ou LIFO).
  2. L’information montante (WMS vers TMS) : Dès que la préparation de la commande est terminée, le logiciel WMS transmet au TMS de précieuses informations : le poids et les dimensions exactes du colis final, sa disponibilité sur le quai de livraison, et la confirmation que la commande est complète et correcte.

Ce dialogue constant permet d’animer un flux logistique dynamique et réactif.

 

L’art du tri, du regroupement et de l’étiquetage piloté par les données

Cette synchronisation WMS/TMS sublime trois processus critiques qui se déroulent juste avant le chargement :

  • Le tri par tournée : Guidé par les informations du TMS, le WMS peut diriger les opérateurs pour trier les colis non pas par commande, mais directement par tournée de livraison. C’est une économie de temps et de manipulation considérable.
  • La consolidation (regroupement) : Si un même destinataire attend plusieurs colis, le WMS le signale pour qu’ils soient regroupés en une seule expédition. Cette consolidation maximise l’espace dans le véhicule et simplifie le travail du livreur.
  • L’étiquetage intelligent : L’étiquette d’expédition n’est plus un simple autocollant avec une adresse. Générée au bon moment, elle devient un condensé d’intelligence logistique. Elle contient le code-barres de suivi, les instructions spécifiques de livraison, et surtout, un code de séquençage pour la tournée. Le livreur n’a qu’à scanner les colis dans l’ordre pour optimiser son trajet.

 

Optimiser le chargement et les tournées grâce aux données en temps réel

Le TMS ne se base plus sur des estimations de poids ou de volume, mais sur des données réelles. Il peut ainsi remplir chaque camion à son plein potentiel, réduisant le nombre de véhicules sur la route. Il peut aussi recalculer les itinéraires en temps réel en fonction du trafic ou de nouvelles collectes, sachant exactement ce qui est prêt à être chargé à l’entrepôt.

Cette synergie permet même d’envisager des stratégies avancées comme le cross-docking. Dans ce modèle, une marchandise arrivant d’un fournisseur (réception de marchandise) est à peine, voire pas du tout, stockée. Grâce aux informations croisées du WMS et du TMS, elle est immédiatement triée, consolidée et affectée à un camion partant en livraison, transitant directement de la réception au quai de livraison.

Révolutionner la proximité : les nouvelles stratégies d'entrepôts urbains

Même avec le couple WMS/TMS le mieux optimisé, une loi physique reste incontournable : la distance. Livrer un colis depuis un entrepôt situé à 50 km de la ville sera toujours plus long et plus coûteux que de le livrer depuis un point situé à 5 km. C’est pour répondre à cette problématique qu’une nouvelle génération d’infrastructures logistiques a vu le jour.

 

Le concept de « micro-fulfillment center » (MFC) : la logistique au cœur des villes

Un micro-fulfillment center est exactement ce que son nom suggère : un entrepôt stratégiquement implanté au cœur des zones urbaines. Il peut s’agir d’un petit local commercial, de l’arrière-boutique d’un magasin (« dark store »), ou même d’un espace réaménagé dans un parking souterrain.

Leur but n’est pas de remplacer les grands entrepôts centraux, mais de les compléter. Les MFCs stockent un assortiment plus restreint de produits, généralement les articles à plus forte rotation (les « best-sellers »).

Les avantages sont spectaculaires pour le dernier kilomètre :

  • Réduction drastique des distances de livraison : Le trajet final se compte en quelques kilomètres, voire en quelques centaines de mètres.
  • Livraison ultra-rapide : Des délais de 1 à 2 heures deviennent une réalité opérationnelle.
  • Coûts de transport réduits : Moins de carburant, moins de temps de trajet, et la possibilité d’utiliser des véhicules plus petits et plus écologiques (vélos-cargos, scooters électriques).
  • Gestion des stocks optimisée : La gestion de stockage est plus agile, alignée sur la demande locale en temps réel.

 

L’automatisation des entrepôts : le moteur des MFCs

Comment peut-on atteindre une telle efficacité dans un espace si restreint ? Par l’automatisation des entrepôts.

Les MFCs s’appuient massivement sur des systèmes de stockage et de récupération automatisés (AS/RS), des navettes autonomes et des robots AMR/AGV. L’automatisation des entrepôts permet de traiter un volume élevé de commandes rapidement et avec une précision quasi parfaite, le tout sur une surface au sol minimale.

Un Warehouse Management System est, encore une fois, le cerveau qui pilote toute cette machinerie, orchestrant les mouvements des robots et la gestion des stocks.

 

Checklist : devez-vous envisager un entrepôt urbain ?

L’adoption d’un MFC est une réelle décision stratégique et il est normal que de multiples questions surgissent. Voici celles à vous poser.

  • Analysez la géographie de vos commandes : Où se trouvent vos clients les plus fidèles ? Identifiez les zones à forte densité de commandes qui pourraient justifier un point de stockage avancé.
  • Évaluez le coût d’opportunité : Calculez ce que vous coûte actuellement le dernier kilomètre pour ces zones denses (en transport, en retards, en satisfaction client). Comparez ce coût à l’investissement requis pour un MFC.
  • Explorez les technologies d’automatisation : Renseignez-vous sur les solutions d’automatisation des entrepôts. Sont-elles adaptées à votre type de produits et à votre volume de commandes ?
  • Évaluez la capacité de votre système d’information : Votre logiciel WMS est-il capable de gérer un réseau d’entrepôts multiples ? Peut-il orchestrer les flux entre un entrepôt central et plusieurs MFCs de manière transparente ?

Votre dernier kilomètre est un avantage concurrentiel qui attend d'être activé

Le dernier kilomètre n’est pas une fatalité. Il ne doit pas être un centre de coût que l’on doit subir. C’est une opportunité stratégique de vous différencier, de fidéliser vos clients et de construire une marque admirée.

Nous l’avons vu, la clé de cette transformation ne réside pas dans une solution miracle, mais dans une approche systémique qui place l’entrepôt au commencement de tout.

  • La performance de la préparation de commande, pilotée par un logiciel WMS, est le prérequis indispensable. Précision, vitesse et efficacité en interne sont les fondations d’une livraison externe réussie.
  • La synchronisation en temps réel entre le WMS et le TMS est le catalyseur qui transforme deux systèmes performants en une force de frappe logistique unifiée. C’est elle qui permet d’optimiser les tournées, de maximiser le remplissage des camions et de rendre l’ensemble du flux logistique plus agile.
  • Les stratégies de proximité, comme les micro-fulfillment centers, représentent l’avenir de la logistique urbaine, rendues possibles par l’automatisation des entrepôts et une bonne gestion logicielle.

N’ignorez pas le rôle de votre entrepôt dans l’équation du dernier kilomètre. En orchestrant la synergie parfaite entre vos opérations internes et vos stratégies de transport, vous ne vous contentez pas de livrer un produit. Vous livrez une promesse. Et dans le commerce d’aujourd’hui, c’est ce qui fait toute la différence.

Alors, prêt à transformer votre dernier kilomètre en un avantage concurrentiel décisif ?

Contactez-nous pour un audit de votre flux logistique et découvrez comment notre solution WMS peut révolutionner votre supply chain.

FAQ : tout ce qu’il faut savoir autour du Dernier Kilomètre

Quelle est la différence entre un WMS et un TMS ?

Pensez-y de cette manière : le WMS (Warehouse Management System) gère tout ce qui se passe à l’intérieur des murs de l’entrepôt (stockage, inventaire, picking, packing). Le TMS (Transport Management System) prend le relais pour gérer tout ce qui se passe à l’extérieur des murs, une fois le colis prêt (planification des tournées, sélection du transporteur, suivi de la livraison). Ils sont complémentaires et leur intégration est cruciale.

 

Pourquoi le dernier kilomètre coûte-t-il si cher ?

Son coût élevé (jusqu’à 53% des coûts totaux) provient de sa faible densité. Un camion long-courrier transporte des milliers de colis entre deux points, ce qui dilue les coûts. Le dernier kilomètre, lui, implique de nombreux arrêts pour livrer un ou deux colis à chaque fois, ce qui multiplie les coûts de main-d’œuvre, de carburant et de temps par colis.

 

Un micro-fulfillment center (MFC) est-il adapté à toutes les entreprises ?

Non, pas nécessairement. Un MFC est particulièrement pertinent pour les entreprises avec une forte densité de commandes dans des zones urbaines spécifiques et pour des produits à forte rotation. Pour une entreprise avec une clientèle très dispersée géographiquement, l’investissement pourrait ne pas être rentable. Une analyse détaillée des données de vente est indispensable avant de se lancer.

 

Comment la traçabilité en temps réel améliore-t-elle l’expérience client ?

La traçabilité en temps réel répond à un besoin fondamental du client : le contrôle et la visibilité. Savoir précisément où se trouve son colis et quand il arrivera réduit l’anxiété, augmente la confiance dans la marque et permet au client de s’organiser. C’est un outil de communication proactif qui transforme l’attente passive en une expérience interactive et positive.

 

Quel est le tout premier pas pour optimiser mon dernier kilomètre ?

Le premier pas est interne. Avant même de penser à changer de transporteur ou de logiciel TMS, analysez la performance de votre entrepôt. Mesurez la durée de votre cycle de préparation de commande, votre taux d’erreur de picking, et la fiabilité de votre gestion des inventaires. Optimiser ces indicateurs avec un logiciel WMS performant est l’action qui aura l’impact le plus immédiat et le plus significatif sur votre dernier kilomètre.